La DGFiP poursuit son entreprise de tout numérisation de ses services. Toutes les missions de notre administration visent à être transformées par l’utilisation d’intelligences artificielles (IA) et le prochain projet de Contrat d’objectifs et de moyens (COM) confirme cette évolution. Si la DGFiP se défend de développer ces algorithmes à des fins budgétaires, les financements alloués pour ces projets sont systématiquement conditionnés à des suppressions de postes. Ces outils interrogent sur leur efficacité réelle, ils tendent souvent à abattre du travail en masse plutôt qu’à rendre un service public de qualité pour toutes et tous. Pour Solidaires Finances Publiques, l’IA telle qu’elle est déployée vise surtout à réduire les coûts de personnel et à privilégier le quantitatif au qualitatif.